Céréales à pailles Stade fin tallage à 1 noeud. Calculez votre risque piétin verse. Risque climatique faible à moyen sur la région. Surveillez les symptômes de maladies foliaires.
Colza Stade D1 à F1 Mettez en place votre cuvette jaune pour suivre l'arrivée des insectes. Vol du charançon de la tige du colza en cours.
Retrouver les actualités d'Écophyto en Pays de la Loire publication du n°6
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RÉSEAU DE SURVEILLANCE BIOLOGIQUE DU TERRITOIRE 2021 PAYS DE LA LOIRE
Pour les colzas peu vigoureux (petits colzas, gel, dégâts d'altises )
Pour les colzas bien développés
A B O N N E M E N T B S V |
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So mm air e
33 parcelles sont renseignées cette semaine sur VGobs avec la répartition suivante :
1 en Loire-Atlantique, 11 en Maine-et-Loire, 3 en Mayenne, 7 en Sarthe et 11 en Vendée
24 blés tendres, 2 blés durs, 5 orges, et 2 triticales.
Les stades des céréales vont de fin tallage à 1 noeud dans les parcelles du réseau ; Les 2/3 des parcelles sont à épi 1 cm ou plus. Hors réseau, des parcelles de blé tendre ont dépassé le stade épi 1 cm (variété filon, semis précoces). Pour les parcelles en fin de tallage, l'épi a décollé dans un grand nombre de situations. Les orges les plus avancées sont au stade 1 nœud (LG Zebra par exemple).
Certaines parcelles sont toujours marquées par les excès d'eau avec des zones non ressuyées et des cultures présentant des symptômes de stress. Des jaunissements de feuilles persistent dans les parcelles. Des bouts de feuilles violacés par le froid sont aussi signalés.
Des symptômes de carences sont visibles sur certaines parcelles.
La présence de taupins et quelques dégâts ont été observés sur 1 parcelle du réseau en Maine-et-Loire. Des larves ont aussi été observés en Vendée.
En savoir plus sur les taupins...
Hors réseau, des dégâts de nématodes à kystes des céréales (Heterodera avenae), sont toujours observés sur plusieurs parcelles en Vendée.
So mm air e
Une parcelle de triticale de Vendée présente des zones avec des dégâts de géomyza (principalement les zones hydromorphes). Les dégâts sont importants avec des pertes de plants.
Des symptômes de piétin échaudage ont aussi été observés sur une parcelle en Vendée.
Quelques symptômes de JNO (Jaunisse Nanisante de l'Orge) commencent aussi à être observés en Vendée.
So mm air e
Quelques rappels sur la gestion de cette maladie dont l'impact sur le rendement est en général relativement faible (5 quintaux en l'absence de verse).
Pour cette maladie, la mise en œuvre d'une intervention chimique dépend de 3 critères :
- Sensibilité variétale
- Agronomie
- Climat de l'année
En situation de risque, la meilleure lutte est le choix d'une variété tolérante
La sensibilité variétale s'évalue à l'aide des notes attribuées par le GEVES.
Tableau : sensibilité variétale au piétin verse (exemples de variétés)
les variétés présentes dans le réseau sont encadrées dans le tableau ci-dessous
Pour le risque agronomique, il faut prendre en compte
Le potentiel infectieux du sol lié à la présence de résidus pailleux en surface du précédent ou anté-précédent
(remontés en surface lors d'un labour). Ces résidus représentent la principale source de contamination.
Le type de sol
Le risque climatique est déterminé avec le modèle de prévision TOP (modèle climatique basé sur la température et la pluviométrie journalières et la date de semis). Ce modèle calcule un indice de risque climatique au niveau régional sur blé tendre en sortie d'hiver.
So mm air e
Le modèle TOP calcule cette année un indice TOP pour 3 dates de semis :
- 05/10 (semis précoce)
- 20/10 (semis normal)
- 05/11 (semis tardif)
Le modèle TOP s'interprète au stade épi 1 cm. Avant ce stade, il permet de donner les premières tendances de risque.
- Risque climatique faible = indice TOP <30 (note dans la grille : -1)
- Risque climatique moyen = 30 < indice TOP > 45 (note dans la grille : 1)
- Risque climatique fort = indice TOP > 45 (note dans la grille : 2).
Retrouver les graphes du modèle TOP en annexes.
Avec le temps sec de ces derniers jours, l'indice climatique n'évolue pas par rapport à la semaine passée.
Cette semaine, le modèle TOP indique un risque climatique moyen pour les parcelles ayant atteint ou dépassé le stade épi 1 cm en Loire-Atlantique et Vendée et pour les parcelles en variétés précoces ayant atteint le stade épi 1 cm en Mayenne et en Sarthe. Sur le secteur du Maine-et-Loire, pour les parcelles en variétés précoces où le stade épi 1 cm est atteint, le risque climatique est faible.
Pour les parcelles semées au-delà du 20 octobre ayant atteint le stade épi 1cm en Loire-Atlantique, le risque climatique est moyen. Il est faible dans les autres départements
Dans les autres situations (semis fin octobre en 49, 85, 53 ou 72), attendre que le stade épi 1cm soit atteint pour déterminer l'indice.
L'évaluation globale du risque se fait donc au stade épi 1 cm en combinant l'effet variétal, le risque agronomique et le risque climatique (modèle TOP). Vous pouvez l'évaluer grâce à la grille de risque (Arvalis).
Grille d'évaluation du risque piétin verse :
(Cliquez sur la grille pour l'agrandir)
Indice climatique : le risque mesuré par le modèle s'interprète autour du stade épi 1 cm. Tant que ce stade n'est pas atteint, il est proposé de mettre la note de 1 pour l'effet climatique.
Retrouvez plus d'informations sur le piétin verse dans le document Choisir et Décider, ARVALIS
D'autres maladies du pied peuvent également être observées sur céréales.
Cette semaine, des symptômes de rhizoctone sont signalés sur une parcelle de Vendée (LG Absalon) sur 5 % des plantes. D'autres symptômes de rhizoctone ont été observés hors réseau dans des parcelles de limons principalement dans le bocage vendéen (sols hydromorphes).
La maladie n'est pas observée. Des pluies fréquentes sont favorables à cette maladie. A surveiller avec le retour des précipitations en fin de semaine.
À partir du stade "épi 1 cm"
Variétés sensibles : présence de plus de 20% de F3, F2 ou F1 déployées atteintes sur au moins 5 % de la surface foliaire
Variétés tolérantes : présence de plus de 50% de F3, F2 ou F1 déployées atteintes sur au moins 5 % de la surface foliaire
Quelle que soit la variété, le risque est faible si l'oïdium reste cantonné aux tiges.
Des symptômes sont visibles sur 1 parcelle de triticale du réseau pour le moment en dehors de la période de risque : 100 % des F3 du moment sont touchées et 40 % des F2.
À partir de 1 nœud
CAPDL
La rouille jaune n'est pas signalée dans le réseau.
À partir de 1 nœud
En présence des premières pustules sur l'une des 3 feuilles supérieures.
La maladie est observée dans plusieurs parcelles d'orge de Vendée depuis une dizaine de jour, principalement dans l'est du département. La maladie est observée sur les variétés Etincel, Margaux et Coccinel. Parfois seule la dernière feuille ne présente pas de symptômes.
À partir de 1 nœud
Sur les variétés sensibles: si plus de 10 % des feuilles sont atteintes
Sur les variétés tolérantes : si plus de 50 % des feuilles sont atteintes.
La septoriose est signalée dans 8 parcelles (sur les 18 renseignées) au stade épi 1 cm avec des symptômes sur en moyenne 52 % des F3. 3 parcelles présentent des symptômes sur les F2 et une sur les F1 du moment. Les symptômes de septoriose sur les plus vieilles feuilles sont actuellement fréquents : soyez vigilants et observez vos parcelles.
Il faut surveiller l'évolution des symptômes en cas de précipitations car les pluies sont très favorables à la montée de la maladie sur les étages foliaires supérieurs. Les plus annoncées en fin de semaine pourraient être favorables à la progression de la maladie. Les parcelles concernées sont actuellement au stade épi 1 cm, donc en dehors de la période de risque.
À partir du stade 2 nœuds
Au stade 2 nœuds
Variétés sensibles : 20% des F2 du moment déployées (F4 définitive) présentant des symptômes
Variétés peu sensibles : 50 % des F2 du moment déployées (F4 définitive) présentant des symptômes
CAPDL
So mm air e
21 parcelles sont renseignées cette semaine sur VGobs avec la répartition suivante :
1 Loire-Atlantique, 7 Maine-et-Loire, 3 Mayenne, 5 Sarthe et 5 Vendée.
Les stades vont de boutons accolés cachés (D1) à premières fleurs ouvertes (F1).
sem 09
sem 10
71%
54%
38%
19%
8%
0%
5%
0%
0%
5%
So mm air e
Positionnez votre cuvette jaune pour suivre les vols des insectes du colza. Pour ce faire, la cuvette doit être comme posée sur la végétation.
Des baris ont été piégés dans les cuvettes de 4 parcelles du réseau. Ce charançon n'est pas nuisible.
Des larves de charançon gallicole (nuisibilité faible) ont été observées dans 2 parcelles et Maine-et-Loire et en Vendée.
91 charançons de la tige du colza ont été piégés dans 13 parcelles (sur 20 renseignées) en Maine-et-Loire, Vendée, Sarthe et Mayenne cette semaine. Le vol s'intensifie. L'absence de précipitations ces derniers jours à été favorable au vol de ce charançon. Soyez vigilants et surveillez vos cuvettes : le piégeage permet de détecter l'arrivée du ravageur mais le nombre de captures ne reflète pas l'intensité de l'infestation dans la parcelle.
Le vol de ce ravageur se déclenche lorsque les températures deviennent supérieures à 9°C avec des précipitations nulles pendant 3 jours consécutifs. A partir du 20 février, si ces conditions sont réunies, en plus de l'absence de vent, sur une journée, le vol peut s'engager.
Des charançons de la tige du chou ont également été piégés : ils ne sont pas nuisibles.
Apprenez à reconnaître les caractéristiques de ce charançon pour détecter sa présence :
En savoir plus...
De C2 à E. Le risque vis-à-vis du charançon de la tige est avéré lorsque les conditions suivantes sont réunies : présence de tige tendre et présence de femelles aptes à la ponte. On peut donc considérer qu'au niveau des plantes, le début du stade de risque est atteint lorsque l'allongement des entre-noeuds est engagé (stade C2). Concernant l'aptitude des femelles à pondre, celle-ci est fonction des températures. Dans les conditions climatiques normales, on considère qu'elle est acquise dans les 8- 10 jours qui suivent les premières arrivées significatives d'insectes sur la parcelle.
En l'absence de véritable seuil quantitatif et en cas de nécessité, la lutte pourra être mise en place dans les 8 jours qui suivent les premières captures généralisées de charançons de la tige du colza. En conditions fraîches ou froides, ce délai peut être allongé en raison de délais de pontes plus importants et de vols plus étalés.
Aucune lutte contre le charançon de la tige du chou ne doit être mise en place.
Pour les colzas bien développés
Des méligèthes ont été observés dans 18 parcelles du réseau sur toute la région.
Des individus ont été piégés de façon abondante dans de nombreuses situations. Ils sont présents sur 10 à 100% des plantes sur 17 parcelles avec en moyenne 6 individus par plante (1 à 50).
So mm air e
Sur certaines parcelles, les plantes de variété plus précoce commencent à fleurir et attirent les méligèthes.
La pression des méligèthes doit être appréciée par un comptage sur plante ; leur présence dans les cuvettes permet uniquement de détecter le vol.
Le temps annoncé dans les prochains jours pourrait être moins favorable au vol des méligèthes avec le retour des pluies.
Ce sont surtout les petits colzas qui ont souffert des larves d'altises et/ou des excès d'eau qu'il faut surveiller attentivement vis-à-vis de ce ravageur.
Pour les colzas sains et vigoureux, le risque est pour le moment très faible.
Le comptage doit être réalisé sur 10 plantes consécutives à 2 endroits différents de la parcelle. Faire la moyenne de ces 20 résultats en prenant en compte les plantes sans méligèthe.
Dès que l'ES Alicia (variété très précoce à floraison) sera en fleur, les méligèthes, qui sont avant tout des pollinisateurs, vont aller préférentiellement vers ces plantes-là. Ils ne constitueront donc pas de danger pour les autres.
So mm air e
Du stade Boutons accolés cachés (D1) aux premières fleurs ouvertes (F1). Dès que les colzas sont en fleurs, les méligèthes ne doivent plus être considérés comme des nuisibles mais comme des insectes utiles grâce à leur rôle pollinisateur.
Le seuil de risque varie selon la capacité du colza à compenser les attaques, c'est-à-dire selon sa vigueur et également selon son stade de développement.
Stade D1 | Stade E | |
Colza sain et vigoureux, conditions p éd oc li m at i q ue s fa v o ra b l es au x compensations | Compensation de la plante Attendre le stade E pour prendre une décision | 6 à 9 méligèthes / plante |
Colza stressé et peu vigoureux et/ou situé en conditions peu ou pas favorables aux compensations (zones hydromorphes, peuplement trop faible ou trop important, agressions antérieures mal maitrisées) | 1 méligèthe / plante | 2 à 3 méligèthes / plante |
Quelques pucerons cendrés sont signalées sur 1 parcelle en Vendée. Les colzas ne sont pas encore en période de risque.
De mi-floraison au stade G4
A partir de 2 colonnies /m². Surveillez les bords des parcelles.
Des plantes avec nécrose au niveau du collet due à la présence de phoma ont été observées hors réseau sur de rares plantes en Loire-Atlantique.
Hors réseau, des symptômes de phoma sur feuilles sont observés en Vendée.
Le risque Phoma est réduit par les pratiques culturales (export de pailles du précédent, limiter les apports d'engrais organique en été, respecter la période de semis, limiter la densité de semis).
Terresinovia
Ces maladies ne sont actuellement pas signalées dans le réseau.
L'orobanche rameuse a été signalée en Vendée en cours de développement au niveau des racines du colza. Il s'agit d'une plante parasite du colza, dépourvue de chlorophylle et de racines. Son apparition doit être surveillée dans les parcelles à risque et/ou en variétés sensibles.
Au printemps, l'orobanche rameuse est caractérisée par une tige jaune pâle le plus souvent ramifiée d'une hauteur de 10 à 30 cm, qui va rapidement se transformer en hampe florale entre avril et juin. Ses petites fleurs sont jaune pâle cernées de bleu violet. Sa présence s'accompagne d'un phénomène de nanisme du colza associé à une chlorose des feuilles. Dans les situations très infestées, il y a perte de pieds en particulier sur les variétés sensibles. Chaque année, l'orobanche du colza produit une multitude de graines (100 000 à 1 million de graines par pied). Les graines sont minuscules (0,2 à 0, 3 mm) et d'une très grande viabilité dans le sol
(plus de 13 ans).
L'orobanche du colza se développe principalement sur colza mais peut également se développer et produire des graines en parasitant des adventices dont une vingtaine est très présente en culture de colza.
So mm air e
Le réseau se met en place.
Cette semaine, 1 parcelle de féverole d'hiver est renseignée sous VGobs
1 Maine-et-Loire
La culture est au stade début du développement des pousses latérales : première pousse latérale discernable.
Plusieurs symptômes peuvent actuellement être observés sur les féveroles.
Dans les situations de semis précoces, des symptômes d'ascochytose peuvent apparaître.
Attention à ne pas confondre botrytis, ascochytose, mildiou ou autre cause de nécrose.
CAPDL
Terres Inovia
CAPDL
Des symptômes de botrytis sont visibles sur 100% des plante s de la parcelle du réseau. Des symptômes de mildiou sont aussi visibles avec 5 % des feuilles touchées.
Le temps sec est peu favorable à l'évolution des maladies mais le retour d'un temps plus humide en fin de semaine pourraient faire progresser les symptômes.
Hors réseau, des symptômes d'ascochytose ont été signalés sur une parcelle en pois en Vendée.
Apprenez à différencier les principaux symptômes de maladies sur féverole et sur pois avec les 2 courtes vidéos ci-dessous (Agathe Penant, Terres Inovia) :
Les semis de protéagineux de printemps sont en cours sur la région.
Le ravageur n'est pas signalé dans le réseau.
De la levée au stade 6 feuilles. Au-delà de 6 feuilles, les adultes ont déjà pondu au pied des plantes.
Pois : 5 à 10 morsures en moyenne par plante
Féverole : au moins 1 morsure sur chaque feuille.
Ce ravageur n'est pas observé dans le réseau.
Le thrips adulte est un minuscule insecte noirâtre de forme allongée (1-2mm). Les adultes passent l'hiver dans le sol et deviennent actifs dès 7-8°C.
Les températures actuelles sont suffisantes pour que les thrips soient actifs. Ils sont donc à surveiller dès la levée du pois.
C'est la salive toxique injectée par le thrips lorsqu'il se nourrit qui provoque différents symptômes
Feuilles gaufrées avec des taches jaunes ou brunes Nombreuses ramifications Plantes chétives, naines, sans gousses
Les dégâts sont d'autant plus importants que la levée du pois est difficile (mauvaise conditions climatiques). Le thrips peut être présent sur féverole également. Cependant, sa nuisibilité n'a jamais été mise en évidence
De la levée au stade 6 feuilles
À partir d'1 thrips par plante. Prélever 20 plantes espacées les unes des autres au moins de quelques mètres. Les mettre dans un sac plastique transparent. Secouer. Attendre quelques minutes et compter le nombre de thrips présents sur les parois du sac. Diviser ce nombre par 20 pour obtenir le nombre moyen de thrips par plantes.
So mm air e
Les auxiliaires de cultures contribuent à la régulation des populations de ravageurs. Aussi, pour favoriser leur présence et donc leur activité, les Chambres d'agriculture ont créé Auxil'haie et Auxil'herbe, deux applications web en libre accès permettant de concevoir des bords de champs, des haies ou des systèmes agroforestiers propices aux insectes entomophages.
Pour accéder à ces applications, cliquer ici.
Quelques dicotylédones sont observées sur les parcelles de céréales actuellement jonc des crapauds, mourons, véroniques, seneçons, renoncules ainsi que quelques graminée pâturins et ray-grass.
Les 17 et 24 mars 2021, les agriculteurs qui vivent et inventent ensemble l'agroécologie témoignent, lors de 7 webinaires thématiques !
La Chambre d'agriculture Pays de la Loire, la DRAAF et la DDT de la Sarthe organisent, en partenariat avec la CAB, la FRCIVAM, l'APAD, l'Union des Cuma Pays de la Loire, ARDEAR Pays de la Loire, la Cooperation agricole ouest, VIVAGRI et le Lycée agricole la Germinière de Rouillon (72) une journée de témoignages de collectifs d'agriculteurs.
Face aux nombreux enjeux auxquels l'agriculture est confrontée, certains agriculteurs ont fait le choix de travailler et progresser ensemble, en groupe, et de s'inscrire parfois dans un dispositif tels que les GIEE, les Groupes 30 000, les groupes de progrès
Ces groupes ont ouvert des pistes, ils ont des expériences et réussites à partager, sur des thématiques variées. Les webinaires vous permettent de découvrir leurs parcours et d'échanger en direct avec eux. Un large choix de témoignages vous est proposé ! Ces 7 sessions thématiques s'adressent aux agriculteurs, en groupe ou non, aux enseignants, aux apprenants, aux animateurs de collectifs, aux conseillers...
Pour consulter le programme et vous inscrire cliquez ici
Rédacteur : Alexia BARRIER - CAPDL - bsv-gc@pl.chambagri.fr
Directeur de publication : Denis Laizé - président du Comité régional de surveillance biologique du territoire
Groupe technique restreint : Arvalis, Chambre d'agriculture 53, Chambre d'agriculture des Pays de la Loire, Coop de France Ouest, Négoce Ouest, Terres Inovia
Observateurs : Agriculteurs, Agrial, AgriNégoce, Arvalis, Bernard Agriservice, Brouard AgroSolutions, CAVAC, CA 53, CAPDL, CER France 49, Coop Herbauges, GEVES, Hautbois SAS, Pelé Agri-Conseil, SAS Jeusselin, SCPA, Soufflet, Terrena.
Action copilotée par les ministères chargés de l'agriculture, de l'environnement, de la santé et de la recherche avec l'appui financier de l'Office Français de la Biodiversité, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Écophyto.
Les graphes ci-dessous présentent pour 1 station météo par département et 3 dates de semis les simulations du modèle TOP
(Arvalis) qui analysent le risque climatique Piétin verse. Date de simulation : 08/03/2021
Rappel sur la lecture du modèle : chaque "marche d'escalier" représente une contamination ; la hauteur de la marche représente le niveau de la contamination : les marches hautes correspondent à des contaminations secondaires.
Le modèle s'interprète au stade épi 1 cm. Avant il permet de donner une tendance.
Risque climatique faible = indice TOP <30 ; risque climatique moyen = 30 < indice TOP < 45 ; risque climatique fort = indice TOP > 45